Pour bon nombre de personne, l’assurance vie offre un cadre fiscale avantageux pour les placements. C’est un produit assimilé à l’épargne, qui attire des milliers de souscripteurs tous les ans. Mais comment fonctionne-t-il ?
Le principe de l’assurance vie
L’assurance vie est un produit comme l’épargne. C’est également un contrat dans lequel le souscripteur est pris comme déposant. Ce dernier fait des versements ou dépose de l’argent sur son contrat et l’assureur se charge de placer cet argent comme un capital. Dans ce contrat, en cas de vie, l’assureur se charge de reverser le capital à la fin du contrat. Ce capital génère des intérêts pour l’assuré ou pour les bénéficiaires lorsque le souscripteur ou l’assuré décède. Il existe plusieurs formes de contrats d’assurance vie ou de supports, qui profitent mieux au souscripteur. Dans un contrat d’assurance vie, une personne peut avoir autant de contrats, qu’elle souhaite. Elle peut ouvrir un compte au nom de son enfant ou pour une personne de son choix. C’est un contrat dans lequel l’assureur se charge de garantir les fonds déposés par l’assuré ou le souscripteur.
Voir : Comparatif assurance vie
Les différents supports d’assurance vie
Le contrat d’assurance vie est généralement composé, de trois types de contrats. Il s’agit de :
- Le contrat en euros : dans ce contrat, c’est l’assureur qui garantit le montant déposé par l’assuré. Chaque année, les intérêts sont ajoutés au capital. Ces placements sont donc sans risque.
- Le contrat en euros croissance : dans ce type de contrat, le montant des dépôts est sécurisé pour un délai de 8 ans. Il s’agit donc d’un dépôt à terme, et oblige l’assureur à faire de bon placement pour les fonds déposés. Ainsi il garantira les dépôts qu’effectue l’assuré.
- Le contrat multi support : ici l’épargne est investie selon la répartition faite par le souscripteur, sur des unités de compte du marché financier. Il y a dans ce type de contrat, de grands risques de baisse des intérêts, mais il reste pour le moment le meilleur des contrats. Car il génère de gros intérêts pour l’assuré.
La fiscalité sur le contrat d’assurance vie
En matière de fiscalité, lorsque le souscripteur décède, le montant du contrat va aux bénéficiaires désignés dans le contrat et ce montant n’est pas imposable. Mais lorsque le souscripteur de son vivant effectue des retraits de façon partielle ou totale, seule les plus-values sont imposées. Il s’agit dans ce cas de la technique de rachat. Le taux imposable est dégressif au fil des années, dans un contrat d’assurance vie.
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